Le pronghorn est un ongulé de 1,2–1,5 m de long et 35–65 kg, au pelage brun clair strié de blanc et aux cornes recourbées. Il fréquente les prairies et steppes arides d’Amérique du Nord, se nourrit de plantes herbacées et de feuilles. Pendant la saison de rut, les mâles pâturent près des femelles et effectuent des courses d’intimidation.

L'antilope rouanne, ou Hippotragus equinus, est un grand herbivore africain reconnaissable à sa robe brun-roux et ses longues cornes annelées. Elle habite principalement les savanes et les prairies boisées d'Afrique subsaharienne. Les mâles sont légèrement plus grands que les femelles, atteignant jusqu'à 1,5 mètre au garrot et pesant environ 300 kg. Les cornes, présentes chez les deux sexes, peuvent mesurer jusqu'à un mètre de long. L'antilope rouanne est un animal grégaire, vivant en petits troupeaux dirigés par une femelle dominante. Elle est connue pour sa nature méfiante et sa capacité à défendre vigoureusement ses petits contre les prédateurs.

L'Argali est le plus grand mouton sauvage du monde, connu pour sa taille imposante et ses majestueuses cornes en spirale. Il vit principalement dans les montagnes d'Asie centrale, où il fréquente les zones arides et semi-arides des steppes et des hauts plateaux. Ce grand ongulé est parfaitement adapté aux environnements montagneux, se déplaçant agilement sur des terrains escarpés à des altitudes élevées. L'Argali est un herbivore qui se nourrit de graminées et de plantes ligneuses. L'Argali est également un symbole de force et de résilience, mais il est menacé par la perte de son habitat et la chasse excessive. Des efforts de conservation sont en cours pour protéger cette espèce iconique et préserver son habitat naturel.

Le Aye-aye est un lémurien nocturne endémique de Madagascar, reconnu pour son apparence étrange, notamment son doigt central extrêmement long et fin qu’il utilise pour extraire des insectes et des larves des troncs d’arbres. C’est un animal timide et discret, vivant principalement dans les forêts tropicales de l'île. En raison de sa méthode de recherche de nourriture unique, il est parfois perçu comme un présage de malheur par les populations locales, bien que son rôle écologique dans l'équilibre des forêts soit crucial. L’Aye-aye est classé vulnérable en raison de la déforestation et des croyances culturelles à son sujet.